Pour commencer ce paragraphe il faut rappeler que ce qu’on a vu jusque là c’est une théorisation de l’absolutisme. Cette théorisation on la retrouve chez les grands auteurs et elle a pour but de légitimer l’absolutisme. Qu’est ce que cela veut dire ? Sa veut dire que si on cherche à légitimer les tendances absolutistes, l’absolutisme sa signifie qu’il existe donc déjà un peu. C’est donc en tout cas que les ambitions, les prétentions absolutistes du pouvoir royal existent déjà. On commence par dire sa parce que ya une logique chronologique dans sa. En réalité les changements apparaissent en réalité d’abord dans les pratiques. Pratiques de quoi ? Du pouvoir, pratiques administratives mais en même temps ces pratiques les théoriciens s’en emparent et fournissent un effort de légitimation. La pratique oblige l’effort doctrinal de légitimation. Ces théorisations permettent d’affirmer que le roi dispose seul de l’ensemble des droits régaliens qu’il a récupérer aux diverses autorités, pouvoirs concurrents qui lui avait usurpé jusque là. Sa donne une liste interminable de droit. On demande au roi de faire la loi seul, d’exercer ce qu’on appellerai aujourd’hui le pouvoir exécutif, mais qu’on appellerai avant le pouvoir de règlement. Et puis on voudrait qu’il soit capable de lever seul l’impôt. Enfin, aussi seul pour faire la paix et la guerre, toutes les relations internationales seraient donc concentrées dans ses mains. Et puis, une autre précision pour dire qu’a partir du XVIème siècle, le droit royal va intervenir dans la définition du droit privé or jusque là le droit privé c’est le domaine des coutumes a condition qu’il respecte l’esprit des coutumes et que les points qu’ils expriment soit d’ordre public, non privé. Mais par la suite il va pouvoir contester l’esprit multiséculaire des coutumes et légiférer en matière de droit privé de sa propre autorité, or le droit privé permet aussi de faire évoluer les instituions (quand on change législation sur la propriété par