La place du vélo en ville
Je vais donc commencer par parler des relations entre cyclistes et autres usagers. Les documents 2 et 3 illustrent bien les relations difficiles entre, d’une part, les cyclistes et d’autre part, la police et les chauffeurs de bus. En effet ce sont les deux principaux « ennemis » des cyclistes mais ce ne sont pas les seuls ! La relation des cyclistes avec les autres automobilistes n’est pas tendre. Bien souvent les voitures ne font pas attention aux vélos. C’est pour cette raison que beaucoup de cyclistes utilisent les trottoirs (plus sûrs) ou les voies de bus (plus rapide) pour se déplacer. Mais en utilisant ces espaces réservés ils s’exposent au mécontentement des personnes autorisées à les emprunter. Si sur la route les vélos sont des usagers fragiles (face aux voitures), sur les trottoirs se sont eux qui représentent un danger pour les piétons. Ensuite, sur les voies de bus, ils gênent la circulation des bus. Les bus disposent justement d’une voie privée pour circuler sans encombre, mais les vélos les dérangent. Enfin, il y a quelques années, les vélos n’étaient pas nombreux en ville, donc tout leur était permis. Je fais référence ici à la relation avec la police. En effet, les cyclistes pouvaient bruler les feux rouges, prendre des rues en sens interdit, rouler sur les trottoirs. Autant la