La peste
M. Michel : concierge de l’immeuble de Rieux, le premier cas recensé de la peste.
Cottard : homme dont Joseph Grand a empêché le suicide et qui est le seul à tirer avantage de la peste ; il est arrêté par les forces de l'ordre à la fin du récit à la suite d'une crise de démence.
Joseph Grand : employé de mairie écrivant un livre dont il réécrit sans cesse la première phrase en vue d'atteindre une forme de perfection romanesque. Il est le premier à guérir de la peste.
Castel : confrère de Rieux qui tente de développer un vaccin contre la maladie.
Raymond Rambert : journaliste parisien faisant tout son possible pour quitter la ville, car il veut rejoindre la femme qu'il aime. Il abandonne cependant ses projets d'évasion et aide Rieux dans son labeur.
Jean Tarrou : double de Rieux, fils d’un procureur et étranger à la ville, il tient dans ses carnets sa propre chronique de l’épidémie avec toute la lucidité de l'homme absurde, s'étant rapproché de Cottard. Lui ne croit qu’en l’homme, son unique morale est la compréhension. Il éprouve ensuite, en prenant conscience que la peste est l'affaire de tous, les sentiments de l'homme révolté, fait preuve d’un courage ordinaire et se met à la disposition de Rieux (il devient d'ailleurs son ami) pour organiser le service sanitaire ; il cherche à atteindre un idéal de saint laïque. Il meurt à la fin du récit.
Paneloux : prêtre, jésuite érudit qui mourra de la peste. Il interprète la peste comme un fléau divin. Lors de son premier prêche il condamnera les Oranais simplement, mais au deuxième il semble avoir été affecté par la mort du fils Othon, il commence à utiliser un « nous » inclusif et prône l'acceptation. Il mourra de la peste sans accepter aucune aide.
Othon : juge, son fils meurt de la peste. Après sa