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la perfectibilité

772 mots 4 pages
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Nous le savons, L’Homme est un être naturellement pensant et parlant. Rousseau, l’évoque dans son discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les Hommes, 1ère partie ; ayant pour thème : la culture. La faculté de se perfectionner chez l’Homme sera notre thèse. Nous nous demanderons donc l’objectif de l’Homme tout au long de sa vie et si elle est semblable à l’animale. Pour cela, nous étudierons d’abord la différence entre l’Homme et l’animale. Nous verrons ensuite la possibilité à l’Homme de devenir imbécile.

Rousseau, évoque la possibilité de se « disputer sur cette différence [entre] l’Homme et l’animale. L’Homme dispose d’une multitude de faculté à l’inverse de l’animale. On peut se demander, si l’Homme, n’est donc pas une espèce à part, voire unique. Celui-ci, a la faculté de communiquer (il possède la parole contrairement à l’animale) grâce au langage, ce qui lui est propre ; l’homme peut alors avoir une discussion philosophique et donc engendrer des débats entre être humain. L’Homme possède aussi la faculté de raisonner ; ainsi que l’imagination et bien d’autres. Mais une seule faculté prime sur toutes les autres : la faculté de se perfectionner. Celle-ci est universel, inné à toute l’espèce humaine. D’après Rousseau, il n’y a qu’une « qualité très spécifique qui les distingue, et sur laquelle il ne peut y avoir de contestation, c’est la faculté de se perfectionner ». Cette faculté, ne signifie pas devenir parfait, elle vise à l’amélioration, à développer toutes les autres facultés simultanément (ou bien en améliorant une plus que les autres en se contrant sur celle-ci). La perfectibilité, se

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    Dans la conception de Rousseau, il compare l’homme à l’animal tandis que Descartes ne fait que voir la….

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  • Disserte sur darwin et rousseau
    560 mots | 3 pages

    Par la suite, pour Rousseau, l’homme n’est pas un animal sociable de nature, car selon-lui, l’homme naturel ne serait pas encore sociabilisé. L’homme naturel serait un animal avantageusement organisé par la nature, mais plutôt solitaire et indépendant. D’après Rousseau, l’homme aurait pu vivre et demeurer isolé, mais les conditions de vie difficiles lui en ont empêché. Ce sont les catastrophes naturelles qui ont poussés les être humains à vivre en société. Ils ce sont rendus compte que la vie était plus simple ainsi.….

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  • Pascal
    612 mots | 3 pages

    Je rapporterais presque toutes les actions des hommes qui ne branlent presque que par ses secousses. Car la raison a été obligée de céder, et la plus sage prend pour ses principes ceux que l'imagination des hommes a témérairement introduits en chaque lieu. Qui voudrait ne suivre que la raison serait fou…au jugement de la plus grande partie du monde. Il faut, puisqu’il y a plu, travailler tout le jour pour des biens reconnus pour imaginaires. Et quand le sommeil nous a délassés des fatigues de notre raison,….

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  • Explication de texte Rousseau "Je ne vois[...]quand la nature se tait"
    1181 mots | 5 pages

    Nous étudierons d’abord la définition que Rousseau donne de l’animal, cela via la comparaison avec la machine. Puis nous verrons la définition de l’Homme par Rousseau, donnée au moyen d’un parallèle construit entre l’Homme et l’animal ; Ce qui amènera une analyse des avantages et désavantages respectifs de la liberté et de l’instinct. Dès la première phrase du texte Rousseau compare l’animal à une machine « je ne vois dans tout animal qu’une machine ingénieuse ».….

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  • Dossier complet sur les lumières
    664 mots | 3 pages

    Dieu pour fonder la société civile. Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. La critique de la religion. La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers à une mécanique, inspire le déisme de Voltaire et la religion naturelle de Rousseau (qui croit que l’homme est doté d’ une conscience morale innée).….

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  • Explication de texte : « discours sur l'origine des fondements de l'inégalité parmi les hommes » jean jacques rousseau
    2494 mots | 10 pages

    En effet, Rousseau considère cependant la société comme une « contrainte artificielle » dont les Hommes n'ont pas nécessairement besoin. En adoptant une vision Rousseauiste de l'Homme, on peut dire, au contraire, que la société menacerait les différences naturelles propres a chaque individu et créerait par la suite des inégalités. Pour lui, la société corrompt la nature de l'Homme. Avec Rousseau, la vie dit « de nature », correspond à la phase « animale » de l'Homme dans laquelle il serait un être solitaire et paisible limité dans ses besoins et caractérisé par la timidité, la crainte et la pitié.….

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  • Phio
    283 mots | 2 pages

    Dans un premier temps, il va comparer l'Homme, qui a la liberté de prendre ses propres décisions et de juger les choses bonnes pour lui, à l'animal, qui contrairement au précédent, ne prend aucunes décisions, et qui agit seulement par instinct. Rousseau va revenir sur le fait que l'homme, en menant sa vie comme il l'entend, prend certains risques liés à cette liberté de faire ce qu'il souhaite et, ainsi, cela montrerait que l'Homme aurait beaucoup de ressemblances avec l’animal. Or, comme le dit Rousseau, nous pouvons faire la distinction entre ces deux êtres car l'Homme, lui, peut prendre conscience de cette liberté. Or, Comment définir la liberté ?….

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  • Sarousseau animal
    437 mots | 2 pages

    rousseau animal Mais, quand les difficultés qui environnent toutes ces questions, laisseraient quelque lieu de disputer sur cette différence de l'homme et de l'animal, il y a une autre qualité très spécifique qui les distingue, et sur laquelle il ne peut y avoir de contestation c'est la faculté de se perfectionner; faculté qui, à l'aide des circonstances développe successivement toutes les autres, et réside parmi nous tant dans l'espèce que dans l'individu, au lieu qu'un animal est, au bout de quelques mois, ce qu'il sera toute sa vie, et son espèce, au bout de mille ans, ce qu'elle était la première année de ces mille ans. Pourquoi l'homme seul est-il sujet à devenir imbécile ?….

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  • gaston miron
    1187 mots | 5 pages

    Dans l’extrait du texte de Rousseau, on remarque qu’il parle de deux ressemblances et deux différences entre l’homme et l’animal. Nous allons commencer avec les différences. La première différence est la suivante : la nature contrôle chaque décision et action de l’animal tandis que l’homme agit en tant qu’agent libre dans la nature. La nature lui envoie des signes comme à l’animal, mais la différence est que l’homme peut choisir de suivre ces signes ou de les ignorés contrairement à l’animal qui suit ces signes sans se poser de questions. Pour démontrer cette différence, on peut affirmer qu’un végétarien peut mettre ses convictions et ses croyances de côté si sa vie est en jeux, donc ce végétarien mangerai de la viande si il n’avait rien d’autre à manger pour des mois tandis que l’oiseau lui se laisserai mourir, car la nature lui dit qu’il ne peut que manger des graines, donc même si sa vie en dépend il ne mangera que des graines.….

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  • inégalité
    434 mots | 2 pages

    Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, Rousseau évoque l’homme à l’état de nature. Selon lui, l’homme à l’état de nature s’oppose à l’homme à l’état de société en soulignant que l’homme à l’état de nature serait meilleur que celui à l’état de société. Découlant de plusieurs caractéristiques, celui-ci tente de montrer que l’homme à l’état naturel vit de manière individuelle et indépendamment des autres en comblant ses besoins primaires et son bien-être actuel; « En dépouillant cet Être […] Je le vois se rassasiant sous un chêne, se désaltérant au premier Ruisseau, trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas, et voilà ses besoins satisfaits » (p.70).….

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  • Philo
    974 mots | 4 pages

    Comparaison entre l’homme et l’animal a) Dans la philosophie rousseauiste, on constate qu’il y a des différences et des ressemblances entre l’homme et l’animal. La première différenciation est que l’animal ne peut être perfectible. Autrement dit cela signifie que l’homme naturelle a la capacité de pouvoir ce perfectionner contrairement a l’animal qui demeure soumis aux lois de son espèce, sans possibilité de progresser, d’évoluer ou de changer.….

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  • Philosophie l homme est il un être dénaturé
    1871 mots | 8 pages

    un troisième temps comment comprendre cette phrase de Rousseau extraite du Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes : « L’homme qui médite est un animal dépravé ». Par observation, nous pouvons….

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  • Dissertation philosophique 2
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    Pour Rousseau l’Homme de la nature est foncièrement bon et libre. Comme il le dit bien : ‘’Renoncer à sa liberté, c’est renoncer à sa qualité d’Homme’’Évaluer : Cependant Rousseau mentionne aussi que suite à la civilisation de l’Homme, il vit maintenant dans un véritable enfer qui est l’inégalité donc l’Homme n’est plus libre comme il l’était dans la nature. Pour retrouver cette image de liberté il propose le contrat social.(Paragraphe 3)Présenter : Pour Marx l’Homme est déterminé par ses conditions matérielles de vie.….

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  • Quelle définition peut-on donner à l'homme?
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    D'après Rousseau, l'homme se définit à son avantage ou à son inconvénient, par le fait qu'il ait le libre arbitre, et qu'il peut ainsi s'écarter de la nature. Rousseau pose alors les différences essentielles entre l'homme et l'animal; pour cela, il commence par donner la définition de l'animal par le biais d'une comparaison reprise à Descartes: c'est à dire que l'animal n'est rien d'autre qu'un mécanisme très sophistiqué et si bien construit qu’il ne peut suivre que son instinct (l.1-4). De cette manière, il procède à une seconde comparaison, où la "machine humaine" est caractérisée par sa qualité d'agent libre (l.4-8), qui lui permet de subir ou non son instinct et ses désirs (l.8-10). Rousseau peut finalement peser les conséquences de la liberté humaine, même si celles-ci lui semble plutôt désastreuses (l.10-16).….

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  • Dissertation, philosophie, L'homme est-il-fait pour vivre en société ?
    2294 mots | 10 pages

    L'homme est-il fait pour vivre en société ? « Les hommes errants jusqu'ici dans les bois, (…) se rapprochent lentement, se réunissent en divers troupes, et forment enfin dans chaque contrée une nation particulière, unie de mœurs et de caractères (…). », c'est ainsi que Rousseau décrit les premières sociétés dans le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes. Le sujet nous invite à nous demander ce que représente la société pour l'homme, lui est-elle essentielle : vivre en société, est-ce une donnée ontologique ? L'homme….

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