La musique d'une vie par a. makine
La Musique d'une vie d'A. Makine.
Références de l'ouvrage.
Nom : Makine. Prénom : Andreï. Titre : La Musique d'une vie. Lieu : Mesnil-sur-L'Estrée. Maison d'édition : Éditions du seuil. Année : 2001.
Http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?article308
Andreï Makine.
L'ouvrage.
Tout au début du livre, l'auteur explique qu'il y à vingt cinq ans il a rencontré un homme dans une gare. Il introduit aussi un terme de deux mots qui définit tous les soviétiques. Il ne le dévoilera que plus tard.
L'histoire commence dans une gare perdue dans l'Oural en Sibérie. La narrateur, qui est certainement l'auteur, nous décrit dans les premières pages la rudesse de la vie dans ses plaines enneigées où le froid extrême fait partie du mode de vie.
Son point de vue nous invite à suivre l'histoire de l'extérieur.
Après un voyage en Orient, il revient en Russie. Il passe par la Sibérie et doit attendre un train vers Moscou pour rentrer. Le train a déjà six heures de retard.
Dans cette gare l'auteur analyse le monde autour de lui qui lutte chaque instant contre le froid.
Un moment donné, ses analyses sont perturbées par une musique. Il découvre un pianiste dans une pièce sombre s'adonnant à son loisir.
Ce pianiste se nomme Alexei Berg. Lors de cette rencontre, le narrateur énonce enfin la définition suivante : « Homo Soviectus ».
Définition qui regroupe toutes les personnes de cette région du monde, habituées à la rudesse de l'hiver, qui se débrouillent comme ils peuvent. « Cette stagnation humaine » dit A. Makine.
Quand le train arrive, le hasard place les deux hommes l'un à coté de l'autre. Ils discutent de Moscou, prennent le thé ensemble, etc ...
Pendant la discussion entre les deux hommes, flashback. On rejoint le pianiste dans son enfance.
Il commence à raconter sa vie. C'est au début de la guerre, le 17 mai 1941 que nous rejoignons Alexei. On ne sait pas grand chose de lui, c'est un