La mortalitée infantile en france du 18° au 20° s.
Introduction
Je vais vous parler du progrès contemporains des sciences, des techniques et de la communication. Je vais aborder le sujet de l’évolution des métiers liée à la science et a la technique en choisissant le cadre de la mortalité infantile en France du 18° au 20° Siècle. De nos jours en France le décès d’un nouveau-né s’avère exceptionnel et très inattendu contrairement à nos ancêtres qui eux n’avaient pas toute cette avancée dans la médecine. Depuis le 18ème siècle l’hygiène elle aussi à progressée. Pasteur à découvert les méthodes d’asepsies ainsi que de nombreux vaccins qui auront sauvés et sauvent encore aujourd’hui nos enfants de certaines maladies infectieuses.
Quel a été l’impact de l’amélioration de l’hygiène et de la vaccination sur la mortalité infantile en France ?
Documents
-Tableaux des Statistiques.
On voit sur ce document l’évolution de la mortalité infantile en France entre le 18ème siècle et aujourd’hui. En 1750, près d’un nouveau-né sur trois mourait avant d’avoir atteint son premier anniversaire, victime le plus souvent de maladie infectieuse. En 1790 on observe une sérieuse baisse de la mortalitkié infantile, suite à ça elle ne concerne plus qu’un nouveau-né sur six. Mais au cours du 19ème siècle, celle-ci augmente de nouveau, car l’industrialisation sauvage et l’entassement dans les villes sont propices aux épidémies. Une nouvelle maladie apparait, le choléra, qui provoque plusieurs épidémies. A partir de la fin du 19ème siècle, grâce à la diffusion des pratiques d’asepsie, la mortalité commence à nouveau à baisser. Suite à ces rapides hausse, le fléau stagnera jusqu’à 1911 où la mortalité remonte en pointe en raison d’un été très chaud durant lequel la mortalité par diarrhées à été très forte. La série continue ensuite avec la guerre de 1914-1918,