La mort de roland
En premier lieu, on aborde la bravoure et le courage de Roland durant les nombreuses conquêtes dont il a été vainqueur. Roland n’a jamais cessé de combattre avec férocité l’ennemi à travers chaque bataille comme l’atteste cette citation tirée de l’extrait La mort de Roland : « Puis je lui conquis l’Anjou et la Bretagne, le Poiton et la Maine; je lui conquis la franche Normandin et la Provence et l’Aquitaine, la Lombardie et la Romagne entière.» L’utilisation dans ce court passage de la répétition « je lui conquis » montre qu’il s’est battu sans relache et qu’il a fait preuve d’un courage sans pareil en allant combattre tête baissée. De plus, il a tellement conquis de territoire que sans le courage et la bravoure dont il fait preuve, il n’aurait jamais réussi à prendre posession de toutes ses terres pour son roi. En résumé, toutes les conquêtes dont il a été le pillier principal et qui a mené à la victoire font en sorte que Roland dégage une bravoure et un courage sans commune mesure. Malgré tout le sang versé par son épée et la mort coulant sur sa lame, Roland n’est point immortel comme tous ceux qui se sont trouver sur son chemin.
En complément, Roland a vu la mort de près si souvent qu’elle ne lui fait plus peur. Roland est prêt à se sacrifier au lieu de laisser son épée au mains des païens comme en témoigne cet extrait tiré de la Chanson de Roland : «Pour cet épée, j’ai douleur et regret. Et mieux me vaut mourir que la laisser tomber dans les mains des païens. » De plus, il reste égal à lui même, il sait que la