La moralité chez un fils de guy de maupassant
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1ère partie : Comment peut-on dire que l’Académicien démontre des traits d’un caractère moral? A. La moralité est fondée sur le principe du bien et du mal. Alors, bien que l’Académicien ait un certain niveau de pouvoir dans la societé, on peut supposer qu’il a de bons principes. En effet, il a une bonne réputation et il est intruit, «[...]échangeant des pensées, non pas sur des Idées, mais sur des hommes [...]primant toujours la Raison» (p.44) B. Quand son ami était malad, l’Académicien passait du temps avec lui. On peut dire, que l’Académicien suit des principes moraux en aidant son ami et en lui tenant compangnie. C. Il a démontré l’anxieté face à la possibilité d’être le père du fils de la femme morte: «J’eus une sorte de frisson désagréable, un de ces effleurements pénibles qui nous touchent le coeur» (p.46) En dépit du fait qu’un frisson est seulement une sensation et pas d’un sentiment émotif, on peut argumenter que ce sort de disbalance moral épouvé par l’Académicien est une réaction physique liée à la faute ou à la honte de l’homme en association avec les principes moraux. D. Encore, l’Académicien exprime l’inquiétude à propos du bien-être de son fils, «je m’interessais à ce pauvre être si abondonné de tous et privé de tout, et que je voulais faire quelque chose pour lui» (p.47).
2e partie : Qui sont des actions de l’Académicien qui montre ses pensées ou idées immorales? A. Son ami, le Sénateur lui a dit : « s’il te fallait faire le compte de tes enfants, tu serais bigrement embarrassé » (p.44). Alors, on peut supposer que les deux hommes avaient eu beaucoup d’expriences avec des femme et qu’ils peuvent avoir d’enfants inconnus. B. Quand l’Académicien avait une rancontre avec la servante, ses actions peuvent être décrites comme irrationnelles et imprévisibles. Il a dit : «le désir de la posséder m’envahit» (p.45). Encore, il décrit ses actions comme : «brusquement, sans réféchir à ce que je faisais, plutôt pas plaisanterie