La montée de la caverne
Je m'ouvre les paupière, je m'aperçois que je demeure non pas incorfortablement, mais qu'il n'y a pas nécessairement plas à l'avancement à l'endroit où je reste ce qui au fond de moi ce qui étourdi ma paix intérieure vu mon bonheur incomplet. Je rampe, la difficulté augmente à tout les centimètre de mon évasion, je vois la lumière au bout du tunnel: je me retrouve malencontreusement dans une situation familière, je suis de retour au nouveau point de départ. Je ne me rapelle pas tout à fait pourquoi j'avais resté dans ce creux si longtemps, mais je suis sur qu'en prenant un peu de recul je pourrais bien m'en rapeller et au lieu de prendre du recul j'irai de l'avant vers ce mur qui me semble insaisissable.
Je m'ouvre l'esprit, bien que le mur soit d'une difficulté grandissante et que celle-ci soit encore plus ardue que tout autre avant je prends cela à la légère et je me dis que ça ne dois pas être si complexe que cela. Malgré tout ce que j'ai pu me dire ou remarquer la paroi se grimple beaucoup plus aisement qu'autre fois. Trouvant cette dernière observation des plus étranges je me penche alors sur la question. J'analyse les évenements: lors de mon séjour dans cette espace ci douillet, qui me semblais bien tentant d'y rester, j'ai du par réflexes méditer sur mon état ultérieure, dû à mon désir d'apprentissage continuel, résultant en une analyse complète de mon ascention précédente ce qui m'a permis de me retrouver et de pouvoir grimper plus facilement vers cet connaissance tant recherché. Enfin, j'entrevoie le prochain palier, étant donné mon état de fatigue je ne porte pas attention à ce