La monnaie
Le système de société actuel (capitalisme) est basé sur l’accumulation continue du capital et est mesuré par la monnaie.
La monnaie est une construction sociale : elle n’existe pas sur l’état naturel. Elle repose sur des conventions sociales qui font qu’elle est reconnue par une communauté de personne donnée. Ex : l’€ est reconnu par la CE et par d’autres personnes ( c’est le produit d’une histoire sociale.
L’échange de la monnaie apparaît comme naturel car quand on utilise les billets, ils sont acceptés. On comprend l’importance de la construction sociale lorsqu’elle est en crise. En effet, la monnaie rentre en crise lorsqu’elle n’est pas acceptée. La monnaie repose sur « une confiance mutuelle ». La monnaie est une construction sociale et c’est pour cela qu’elle gène les économistes. Sa mission est d’avoir une physique économique où l’équilibre en est la règle. Elle est considérée comme un élément neutre c’est a dire sans influence sur les équilibres macroéconomiques. La monnaie est un voile (pour les économistes), elle facilite seulement les échanges et n’a aucune influence sur les prix relatifs des biens et services, la monnaie servant d’unité de vente.
On est passé d’une économie de troc à une économie monétaire car la monnaie facilite les échanges. Ce passage réduit le nombre de prix.
Comment définir la quantité de monnaie en circulation ?
Au départ la monnaie métallique (en or) était la forme principale de la monnaie, elle avait une valeur intrinsèque (propre à elle même). Elle était mesurée par la quantité d’or contenu dans la caisse. La quantité d’or = valeur faciale de la pièce.
( 1er impôt à était introduit car il y avait une différence entre la valeur faciale (>) et la quantité d’or contenu.
Tout le monde n’a pas le droit de créer de la monnaie, seules les instituions spécialisées le peuvent.
Après la monnaie métallique, on est passé à la monnaie papier car il est plus facile d’avoir des effets de commerce que des