Non, merci: l'identité, l'honneur et la masculinité dans Cyrano de Bergerac La pièce la plus célèbre d'Edmond Rostand, "Cyrano de Bergerac," raconte l'histoire de Cyrano, un garde français qui est respecté par beaucoup, a de nombreux talents, mais il a malheureusement un nez très long. Cyrano passe toute la pièce en amour avec sa cousine Roxane, mais en même temps d'aider son ami Christian à déclarer son amour à Roxane. Éventuellement, Cyrano découvre la triste vérité que Roxane aime Christian, et il reçoit une offre que la plupart des artistes en France seraient prêts à accepter: d'avoir un puissant patron politique. Fait intéressant, Cyrano refuse l'offre et, dans un monologue à son ami Le Bret, il explique à travers d’une série de métaphores comment accepter le pouvoir social et politique à travers d’un patron signifierait l'érosion de son identité, une insulte à son honneur, et la désintégration de sa masculinité. Cyrano est un personnage qui est intrinsèquement lié à son identité comme poète et un bon gardien. Parce que Cyrano reconnaît qu'il n'est pas physiquement beau, il gagne sa confiance en soi à partir de sa capacité innée à écrire des poèmes magnifiques et à son ensemble de morale et valeurs. Rostand utilise une métaphore d'un lierre grimpant autour d'un arbre comme une façon de montrer à quel point Cyrano est attaché aux valeurs qui composent son identité. Comme Rostand écrit, Cyrano estime que “chercher une protecteur puissant" c'est comme être un lierre que “cirvonvient un tronc", mais s’élève le "[grimpe] par ruse au lieu de s'élever par force." Rostand continue de montrer que l'acceptation de patronage nuirait le sens d'identité de Cyrano lors que Cyrano exprime hardiment que, “non, merci, ” il refuse de faire “comme tous ils le font:” Ici, le lecteur voit que Cyrano est un personnage qui est conscient de sa propre unicité, et qu'il est conscient du fait que son charisme unique et son talent poétique qui lui donne le statut social dans la