Le monde est sous un autre regard, les mœurs se transmettent, toujours les mêmes égards, les décors changent, pour l'argent se transmet l'amour, le désir de conquête, le pouvoir dans ce monde très pauvre, chacun a son tour projette de rejeter le monde. La vie c'est un mal, tous cachés derrière un masque, la balle au risque à l'art de faire valser l'argent, mais dans les vies on veut tous défiler en même temps. En quête de pouvoir, des clans secrets, les faibles s'écrasent, des hommes s'écroulent par ce vieux rêve de vouloir gérer le monde, et puis il ne reste plus rien, juste un monde qui tourne, mais ce n'est pas normal qu'il ne tourne pas rond car le monde n'est pas une marchandise, j nous sommes pas des marchandises. On est pris vers le monde, on oubli, on néglige, on détruit, met l’existence est à notre guise! La douleur est intense, et son crime étouffe, c'est vrai que quand on y pense on la ressent tous, un pansement ne suffirait à empêcher l'hémorragie, il y a une blessure donc le monde saigne, c'est la totale en pétrole, et pour le monde il n'y a pas de défense. Le monde c'est une mise en scène, on se tape tous pour un petit rôle, la fortune définie la place de chacun alors on s'affole, on s'étripe, on se déchire sans rien voir, et c'est l'entre-choc, mort des gens dans la course vers la gloire, et quand il restera plus rien on voudrait pouvoir vivre sans être du système la proie, il faut se battre pour une cause mais laquelle est juste, il y a toujours un profit au détriment des autres qui nous frustre, ici comme partout ailleurs on ne rêve que d'argent, on entends qu'on parle de la valeur marchande des gens.
L'analyse de la marchandise est au cœur de la pensée de Marx, car il faut comprendre que la société moderne tourne autour de la marchandise. Une marchandise est une chose que l'on peu vendre ou acheter(utile, achetable et vendable) alors q'un bien n'est pas une