La législation de la contreception , un progrès essentiel pour les femmes
Jusqu'à ce que les Françaises ont obtenu le droit de vote en 1944, elles n'étaient pas vraiment des citoyennes parce qu'elles n'avaient pas les droits garantis aux hommes. Cependant, avec l'aide des féministes, les femmes progressaient lentement dans la société. Vers la fin du XVIII siècle, Olympe de Gouges, convergeait ses efforts sur La Déclaration des droits de la Femme et de la Citoyenne. Elle était contre >, le document qui a éliminé tous les droits pour les Françaises. Leur seule place dans la société était au foyer avec les enfants à cause de ce Code. Donc, de Gouges soutenait que toutes les femmes étaient égales aux hommes. Les Françaises illustraient cette idée quand elles ont ouvert leurs salons aux intellectuels et aux philosophes. Elles pouvaient penser et exprimer leurs opinions avec les hommes que la société reconaissait comme importants. De plus, de Gouges pouvait lutter pour l'idée que les femmes étaient instruites et un groupe important à la société parce qu'elles élevaient leurs enfants. Parce que les femmes avaient le même sens d'imagination et l'abilité de penser de politique, Olympe de Gouge rationnalisait que les Françaises étaient égales aux hommes. Des années plus tard, une autre femme formulait son opinion au sujet de la condition feminine. Jeanne Deroin vivait au XIX siècle et elle est devenue populaire pendant la Révolution de 1848. Les gens qui sont montés aux barricades dans les rues luttaient pour le suffrage universel, l'égalité, et le droit au travail pour tous. Bien qu'ils aient obtînt le suffage c'était seulement pour les hommes. Mais quand le droit au travail a été garanti pour tous, incluant les femmes, l'idée que le suffrage était pour les hommes soulevait plusieurs questions. Jeanne Deroin réalisait que si une femme pouvait gagner un salaire (bien que mariée, son salaire appartenait à son mari), élever les enfants, et