La liberté suppose t-elle l'absences de contraintes?
La liberté est une notion intéressante du point de vue philosophique parce que c’est un terme que nous utilisons souvent. Nous avons un usage ordinaire du mot: pour le sens commun, la liberté s’est agir sans aucune contraintes: elle est donc la faculté d’agir selon sa volonté sans être entravé par le pouvoir d’autrui.
La contrainte, elle, est définie à ce qui s’impose à moi de l’extérieur.
L’homme revendique le pouvoir d’agir comme bon lui semble sans subir de contraintes. Inversement, celui qui est contraint n’est pas libre, il doit se soumettre aux ordres d’un autre ou encore plus généralement, à des forces qui s’imposent à lui.
Il y a t-il contradiction entre liberté et contraintes?
A la fois, les contraintes réduisent la liberté d’action. Les contraintes limitent-elles nos libertés?
Il paraît alors imporatnt de connaître, dans un premier temps, les contraintes qui réduisent la liberté et de savoir, si elles sont surmontables ou pas et dans un second temps de comprendre que les contraintes ne forment pas nécessairement des obstacles à la liberté.
Tout d’abord, si on se réfère à la définition générale de la liberté, « le pouvoir de faire ce que l’on veut », l’homme est amené à rencontrer deux types de contraintes dites explicite et implicites.
Les contraintes explicites sont tous les nuiscants en notre liberté c’est-à-dire ce qui s’impose de l’extérieur, des règles comme les représentants de l’autorité. Elles sont aussi le fait de l’homme. Politiquement, par exemple, les contraintes sont des lois qui régissent notre société: par exemple, la loi nous conttraint à ne pas tuer d’hommes sous peine d’être privé de notre liberté en prison.
La notion de contraintes est très vaste; de la politique à la physique, tous les êtres vivants sont soumis à des contraintes: celles-ci sont extérieur a l’individu.
Les contraintes implicites que nous subissons nuissent d’autant plus à notre liberté que nous