La liberté individuelle n’est nullement un produit culturel »
Freud
Selon Freud, c’est avant toute civilisation que la liberté individuelle était la plus grande. Des restrictions et des barrières sont imposées à l’homme suite au développement de la civilisation. La justice exige également que ces restrictions ne soient épargnées à personne.
Chaque individu crée sa propre liberté avec l’éducation qui lui a été donnée ainsi que les règles qui lui on été inculquée. Cette liberté n’est en rien compatible avec quelque produit culturel que ce soit.
D’après moi, les règles bâties lors de l’éducation ne suffisent pas à fixer les limites nécessaires afin de vivre en communauté. Ces règles de la société sont nécessaire pour que la liberté puisse exister un tant soi peu, sinon, ce serai l’anarchie.
Je pense que l’on ne sait juger de sa propre liberté que lorsque l’on en voit les limites.
Freud prétend que, la liberté individuel étant la faculté d’agir et de penser sans y être contraint et sans en être empêché par quiconque, elle est incompatible avec une société qui, ayant crée des règles et des lois, limite cette liberté individuelle en un bon nombre de point.
En effet, comment agir sans contrainte tout en s’efforçant de respecter les lois ?
Ce passage à la civilisation nous impose le fait de renoncer à faire nous-mêmes usage de la force et à nuire à la liberté d’autrui.
Toutefois, si un seul individu s’avise de rompre ce respect des lois, et, s’il fait valoir sa liberté individuelle au détriment de celle de tous, c’est la civilisation elle-même qui risque de s’effondrer.
Etant fondée sur la liberté et le respect d’autrui, la civilisation implique la renonciation aux libertés individuelles indépendante de toute valeur morale.
La liberté individuelle ne disparaît néanmoins pas totalement avec la civilisation. Elle reste cachée dans l’inconscient de l’homme, prête à resurgir là où on l’attend le moins.
Cette persistance d’un reste