Dissertation

Introduction
Dans chaque école de chaque pays, la première chose qu’on apprend aux enfants c’est l’alphabet. Grâce à cet alphabet, on apprendra à écrire des mots, des mots qu’on assemblera pour faire des phrases. Grâce à ces phrases, on pourra décrire ce que l’on voit, ce que l’on ressent, ce que l’on sait. Tout ce qu’on écrit pourra être lu par d’autres personnes et permettra de les accompagner dans leur apprentissage. Comme le dit Arlette Laguiller : « La lecture est une bonne façon de s’enrichir sans voler personne ». Un enrichissement qui n’est que la croissance de ce que l’on possède déjà.

I. Une lecture enrichissante
Chaque texte lu qui peut provenir d’un journal, d’un roman ou d’une encyclopédie permettra au lecteur d’augmenter le niveau de son vocabulaire. Il est courant qu’en parcourant un texte, le lecteur se trouve confronter à un mot, jusqu’ici, inconnu. Après une petite recherche dans le dictionnaire, le lecteur connaitra la signification de ce mot et pourra l’utiliser dans la vie courante.
La lecture d’un texte permettra à des jeunes lecteurs ou à des personnes, qui ont de problèmes en orthographe, d’améliorés leur orthographe. Après la lecture d’un journal ou d’un chapitre d’un roman, le lecteur sera confronté à une immensité de mots différents. Si c’est un jeune lecteur pas très doué en orthographe et qu’il commence à lire et qu’il fait attention aux mots durant sa lecture, à sa prochaine dictée surprise, il sera content de montré à ses parents qu’il a eu un 10 sur 20 qu’un 0 sur 20.
La lecture permettra d’augmenter les connaissances culturelles du lecteur selon le type de textes qu’il lira. Les textes se diversifient selon l’âge du lecteur. Pour les plus jeunes, les textes leurs permettront d’en savoir plus sur la vie alors que pour les plus âgés, les textes leurs permettront d’approfondir ses connaissances. Mais qu’elles sont les buts de ces écritures ? Sont-ils important pour les gens ?

II. Partager n’est pas