La guerre froide de 1947 à 1962
le maire d’El Idilio organise une expédition dans le but de tuer l’animal auteur des crimes. Le maire, mort de peur, demande à Antonio de finir de traquer le tigre tout seul et de le tuer. Antonio accepte. Il traque la bête pendant plusieurs heures et arrive dans une clairière où il voit le mâle à l’agonie. Antonio comprend qu’il doit l’achever. Une fois le mâle mort , il se réfugie sous une vieille pirogue. Au bout de quelques heures, il en sort, s’accroupit dans le sable et, à ce moment là, il voit la femelle qui court vers lui. Alors, il tire deux coups de chevrotine et tue la bête. Il pleure, et met l’animal dans le fleuve Amazone. Il jette son fusil, et se dirige vers sa cabane. Ayant honte de son acte de cruauté, et pris par la mélancolie, il repart lire ses romans d'amour pour oublier la "barbarie des hommes".
3) L'auteur offre ici une oeuvre écologique, rappellant les notions de respect de la nature et de la faune sauvage, les joies du retour à la nature et à une vie simple comme Antonio, dans une cabane en bois au bord de l'eau.
L'histoire est très bien écrite, les desciptions courtes et précises nous plongent directement dans le contexte. Très rapide à lire, on veut savoir à quoi ressemble ce grand fauve si craint. Cependant, j'ai ressenti à la lecture un peu de lenteur à force de discours sur la vie d'Antonio et son parcours.
2) Classement en catégories et présentation des personnages Je