La guerre en inde
Les trois textes proposés relèvent du registre comique. On peut le constater seulement en regardant les situation dans lesquelles ceux-ci sont placés.
Dans le premiere extrait les personnage sont montrer par moliere de personne bete c’est le cas de monsieur Jourdain « Ah! Que cela est beau! » . Sa réaction est décalée par rapport au contenu de l’apprentissage: « A, E, I, I, I, I. Cela est vrai. Vive la science! » En réalité le personnage part de loin et son ignorance finir par émouvoir: « Ah! La belle chose que de savoir quelque chose! » Les situations également prêtent à rire. Le maître de philosophie commence vraiment par les bases de la connaissance or nous étions en droit d’attendre autre chose d’un tel maître. Monsieur Follavoine ne sait, quant à lui, pas grand chose de plus que sa domestique: maugréant contre l’ inculture de celle-ci, il se révèle en réalité parfaitement ignare lui-même puisqu’il ne sait pas écrire le terme qu’il cherche dans le dictionnaire Dans les trois texes les relations entre les personnage sont simillaires car le contexte est le meme : un maitre pas tres intelligent qui apprends q un individu Dans le texte b on montre un professeur gentil au debut mais qui va vite senerver sur la jeune fille , le professeur pris peure sur le fait que la jeune fille est un plus grand savoir que lui : ‘’ phonemes ‘’ ‘’ J’allais le dire. N’etalez pas votre savoir’’
Et il va par la suite lui dire des choses qui n’ont rien avoir alors que l’eleve est souffrante
Dans le texte A Molière parvient à se moquer, voire même a satirer l'instruction du gentilhomme
Dans le texte C c’est autre chose en effet cet fois ci c’est Follavoine qui va questionner sq domestique qui est un peu sote , mais pas plus que lui … Follavoine va parler des Hebrides a sa domestique qui va d’abbord penser que c’est un objet : ‘’ ah non non c’est pas moi qui range ici ‘’ il va l’infor mer jusau’a ce quelle sache que sa se trouve dehors. Il ne s’enerve en