Premier courant : la Grèce antique.
Autre courant auparavant (concomitant en termes chronologiques). Depuis bien longtemps, il y a des auteurs qui s’intéressent aux problèmes ‘‘économiques’’. Certaines pensées ont été oubliées et d’autres pensées ont été transmises.

Pensée d’Aristote et de Platon est transmise. Largement reprise par St Thomas d’Aquin.

En Chine, il y a avait déjà une administration. Penseurs qui abordent la question économique de manière morale. 3 écoles :

Ecole de BI ou Taoisme caractérisé par la valorisation de l’individualisme. Condamne la propriété et la cupidité.

Confucianisme : valorise la bien être matériel. C’est naturel et légitime de poursuivre un certain bien-être matériel.

Ecole des légistes : supériorité de l’Etat de droit sur l’Etat naturel. Lois qui permettent de développer l’individu. Utilisent les statistiques, se servent de la monnaie comme moyen de transaction et comme instrument utilisé par l’Etat pour contrôler les prix.

Sur ces pensées, il reste peu d’écrits. La Grèce antique sera donc plus largement abordée.

Outils liés aux mathématiques mais peu sur l’économie ne soi. Pensée peu abstraite et toujours associée aux problèmes concrets de la vie humaine. Thèses associées aux problèmes politiques. La pensée économique est subordonnée à la pensée politique de l’époque.

Il faut faire référence à un évènement : développement du marché. Question de l’impact du développement du marché sur la vie de la cité. Ce débat se fait autour de 3 écoles : Sophistes, Platon et Aristote.

Sophistes : sofique (sagesse), allaient de ville en ville pour enseigner l’art de parler en public, de convaincre et de