La france
« air bien vieux, bien faible et bien charmant » référence à Nerval
« Il y a un air pour qui je donnerai tout Rossini, tout Mozart et tout Weber, un air très vieux languissant et funèbre »
V.7 : locution familière très lourde. C'est un gallicisme que Verlaine ( 2) et Hugo (*8) utilisent.
Allitération en (K) et (S) chaque début de vers commence par (K)
Le cadre est important dans ce poème.
On passe du boudoir à la fenêtre par l'intermédiaire du chant
Opposition entre début et fin de la deuxième strophe: « berceau » « mourir »
L'auteur pose des questions au chant. V9 et V10
Il se demande ce qu'est cet air, sa fonction « dorlote »
« voudrais-tu » conditionnel, futur passé
« as-tu voulu » passé composé
«vas tantôt » futur proche
Lien entre les poète et l'air montre une attente de l'auteur.
On dirait que l'air véhicule un message. La musique pourrait être un lien avec la femme aimée.
Le berceau doit peut-être être pris comme un bercement de la musique.
Petite référence à la douleur du poète « mon pauvre être » c'est peut-être un souvenir (mémoire involontaire : surgissement involontaire des souvenirs)
I- une anecdote musicale
II- réminiscence
I- instrument qui permet d'entendre la musique est donné au début (piano) synecdoque : une main frêle anecdote est contextualisée (précis et définie : le soir,un boudoir, fenêtre, jardin) majuscule « Elle » donne une importance au pronom atmosphère est marquée par douceur musique est personnifiée « rôde, épeurée » puis l'auteur s'adresse à la musique « doux chant badin »
: encadré par deux adjectifs.
Air précisé par de nombreuses caractéristiques « doux, très vieux » ténuité, atmosphère douce, fragile air paraît liée à une musique ancienne (lien avec le passé) le chant fait grande impression sur le poète il s'interroge sur l'effet que la musique a sur lui
3 interrogations dans la 2eme strophe il nous renseigne quand même il y a des choses qui lui échappent (V.7)