Chapitre 4 :La France en villes. Exemple 3 :Peut-on réduire la fracture urbaine à Lyon ?

Question 1 : Lyon est l’une des plus grandes villes de France démographiquement et on remarque uneségrégation urbaine assez forte qui est dû aux différences sociales et culturelles des habitants. De plus, on voit que la ville de Lyon est partagé en deux : d’un côté à l’ouest, les quartiers huppés et àl’est, les quartiers plus défavorisés. Par exemple, dans le document 4, des chiffres nous sont procurés : « en 2005, la médiane des revenus variait de 10 339 à 32 216 euros par unité de consommation » ; «la proportion d’étrangers de 0 % à 20,8 % » ce qui montre bien que dans certains quartiers de Lyon le taux d’étrangers est nul et donc qu’il y a une ségrégation sociale importante ; « despropriétaires (…) de 24 % à 93,83 % » ce qui explique une fois encore, la différence entre les « riches » et les « pauvres » car les « riches » peuvent être plus facilement propritaire, car les quartiers «pauvres » sont des barres d’HLM et les habitants ne peuvent pas être propriétaire d’un appartement ou alors, c’est rare ; et pour finir « chomeurs (…) de 2,63 % à 23,41 % » est une preuve supplémentaire àla ségrégation urbaine à Lyon. Question 2 : Tout d’abord, on ramarque que dans le document 1 Vaulx-en-Velin, est situé au nord-est du centre de Lyon. Elle est colorée en violet ce qui signifie,qu’elle fait partie du 33 CUCS (Contrat Urbain de Cohésion Sociale) : revenus moyens des ménages faibles ainsi que du 28 ZUS (Zone Urbaine Sensible). Ensuite, Lyon 1er est un arrodissement situé dans lazone ouest ce qui montre en premier lieu que c’est un quartier assez huppé de Lyon. Et pour terminer, Thurins se trouve au sud-ouest de Lyon. Le document 2 confirme les propos précédent : la part deslocataires est très élevés pour V-en-V et Lyon 1er ( environ 65% ) et est de 29% pour Thurins. Le taux de chômage est plus fort à V-en-V avec 20%, en revanche, à Lyon 1er il est de 10% et il est...