La France de la Belle-Epoque, un pays en retard? I) En 1900, facteurs favorables et atouts français 18ème + 19ème : fin féodalité, fin corporations et dts syndicat (lois Allarde-Le Chapelier). Dts d’octroi (« taxes douanières » pour les villes), unifications unités de mesure (Kg, m). Amélioration système scolaire (Necker, Colbert, Turgot), et transfert techno de RU pdt 1ère RI. La 2ème RI dope la croissance ac dvpt transports, nvelles énergies industrialisantes et méthodes de production, IDE. II) L’état de l’économie française vers 1900 La great depression étant finie, les prix repartent à la hausse. La croissance est importante (5% par an de 96 à 13). 1ère ligne de métro à Paris (1900). Stabilité politique. Mais France slt au 4ème rang mondial, car éclipsée par RU en finances, EU (34% du marché) et All dans l’industrie (Fce : 4% du marché), et les pays émergents (Russie, Jap) sont déjà plus performants. Les marchés nouveaux sont aux mains de : RU et All. Les secteurs principaux : l’agriculture pdt le Second Empire. L’exode rural a rendu la vie agréable à la campagne, âge d’or du blé, viticulture en renaissance, et dvpt technologique (marnage, chaulage, engrais, amélioration outils, croisement d’espèces végétales). Mais agriculture n’est plus moteur éco : pas d’entrepreneurs, agri familiale. L’Etat n’encourage pas l’évolution, avec une aide (1% du budget ministère, crédit agricole) insuffisante pr industrialiser l’agri, les petits proprios assurant la stabilité politique. L’industrie est freinée par le textile (31% valeur indu fçaise) mais RI se fait sentir. Croissance de 1,9 à 4,5% de 90 à 10. Prod fçaise progresse de 64% de 96 à 14. Secteurs dynamiques : électricité (progression de 40% de la consommation), automobile (1er constructeur européen en 13, bien que construction artisanale), aluminium (amélioration techniques de prod et donc bénéfices en hausse). Le retard réside dans le côté artisanal de l’indu et l’importance de