La fourrure des chats siamois
Marguerite Duras propose un roman dont l’intrigue est très réduite. L’intrigue traite sur Anne Desbaresdes, une dame riche qui assiste à un crime. Elle devienne obsédée par le crime ce qui la mène a fréquenter tout les jours un café avec Chauvin, un ouvrier, et imaginent les circonstances du crime. Ces deux personnages développent une attirance mutuelle. Anne Desbaresdes tombe dans la monotonie d’essayer de comprendre le crime en buvant de vin. Cette intrigue ne possède pas une action. L’intrigue ne se finalise pas de même que la relation entre Anne et Chauvin.
Le fait qu’Anne est totalement hypnotisée par le mystère du crime de la femme fait qu’elle assiste quotidiennement au lieu du crime et cherche à découvrir l’énigme du crime. C’est dans ce café ou il rencontre Chauvin. Elle lui pose des questions sur le meurtre pendant que Chauvin lui demande de lui raconter sa vie. C’est la un débute une ambiance de passion entre ces deux personnages.
Le roman est en réalité écrit comme un prologue, prologue où on nous donne tous les éléments essentiels pour faire un roman mais rien n'est développé, et l'intrigue ne commence jamais vraiment. Tous les éléments présentés sont présentés comme des faits, des simples faits banaux. C'est un éternel recommencement, sans début.
Anne est une femme bourgeoise qui ne possède aucun caractère ni une hérédité. La vie d’Anne est vide, seulement elle a l’amour maternel el des habitudes comme celle d’assister aux classes de piano. Avec le crime elle subit une transformation car elle devienne fascine. Chauvin est un ouvrier célibataire. Il se trouve au chômage