La Femme de trente ans
Histoire du texte[modifier | modifier le code]
En 1830, Balzac publie sans signature Une vue de Touraine dans La Silhouette qui sera l’essentiel de la première partie du roman, complétée en 1831 dans la Revue des deux Mondes et parue sous le titre Le Rendez-vous1,2. Cette même année, La Caricature publie sous pseudonyme La Dernière Revue de Napoléon qui formera le début de cette première partie.
La Revue de Paris publie en 1831 sous le titre les Deux rencontres le texte qui sera la cinquième partie du roman, puis le Doigt de Dieu, qui formera la première moitié de la quatrième partie.
La troisième partie du roman, publiée en 1832 dans la Revue de Paris, est intitulée À trente ans. Cette même année, les quatre parties, auxquelles l’auteur a ajouté l’Expiation3, sont réunies dans les Scènes de la vie privée chez Mame-Delaunay sans qu’un titre global les réunisse.
C’est en 1834 que Madame Charles-Béchet publiera l’ensemble remanié, avec les noms des protagonistes modifiés, et deux ajouts importants : la Vallée du torrent et Souffrances inconnues sous le titre Même Histoire.
D’autres transformations ont lieu pour la publication du texte chez Werdet en 1837, puis chez Charpentier en 1839.
La Femme de trente ans ne prend son titre définitif, avec les parties reliées entre elles, que dans l’édition Furne de