La cultute n'est pas un luxe, c'est une necessité
Gao Xingjan cite « La culture n’est pas un luxe, c’est une nécessité » dans son livre « La montagne de l’âme ». Celui-ci est un écrivain dramaturge chinois, ayant reçu un prix Nobel pour ce livre en 2000. Son œuvre est décrite comme étant « une œuvre de portée universelle, marquée d’une amère prise de conscience et d’une ingéniosité langagière, qui a ouvert des voies nouvelles à l’art du roman et du théâtre chinois » Ses œuvres et leurs caractères l’ont confronté souvent à la censure. C’est un roman se moquant des exigences du Parti Communiste Chinois. La culture peut avoir un double sens, un sens d’appartenance (à une société) et un sens de savoir (culture générale), quand est-ce que l’on peut parler de nécessité et quand est-ce un luxe. Tout cela dépend du point de vue et de la façon perçue.
Ce qui différence l’homme de l’animal est justement sa culture, son savoir. L’homme ne nait pas homme mais il apprend à le devenir. Sa culture (d’un point de vue d’appartenance, d’origine) jouera un rôle primordial, elle apportera les premières normes et ses premiers jugements. Chaque culture à travers le monde crée un modèle d’homme, celle-ci est donc indispensable pour permettre la diversité humaine. Nous avons besoin de relation avec nos semblables sans quoi nous ne pouvons pas développer notre élément humain. C’est pourquoi la culture joue un rôle si primordial et est tant nécessaire, nous avons besoin de pouvoir nous identifiez à un milieu, d’appartenir à celui-ci et pouvoir le revendiquer (exemple : chaque être-humain se caractérise comme appartenant à « un pays », possédant une origine, ce qui lui permet d’expliquer sa manière de parler, se comporter, d’être, son physique –bien sûr il existe certaines exceptions – et bien d’autres caractéristiques types de son origine). Chaque société est en grande partie basée sur son patrimoine culturel (d’où découlent