« La culture ne s'hérite pas, elle se conquiert »

Conquérir, un mot que l'humain utilise à toutes les temps: passé, présent, futur.
Un mot qui lui permet de le rendre plus puissant.
La culture, est l'ensemble des connaissances, savoir-faire, traditions, coutumes propres à un groupe d'humain, à une civilisation.
André Malraux met alors cote a cote ces deux idées: « La culture ne s'hérite, elle se conquiert ».
Dès lors les questions sont nombreuses.
En quoi l'homme voudrait se forger sa culture? N'est-elle pas commune à certaines personnes? Ne peut-elle en aucun cas reposer sur une question d'héritage?

Nous pouvons dès lors nous interroger sur les modes de transmissions de la culture. Depuis des millénaires, une question de transmission sociale existe. Tel que le père de famille apprendra à son fils. Il est certain qu'une question de nature apparait aussi. L'homme blanc, jaune, noir sera rattaché à sa civilisation. Il sera attaché à ses coutumes, aux valeurs de ses anciens.
Il est de ce fait que dans certains pays,la culture est imposée, elle est inculqué aux plus profonds des âmes enfantines. Lors des colonisations, les afro-américains furent considérés comme une sous-race, ce qui leur fut perdre tout question de culture primaire. Ils étaient prêts à accepter les valeurs, coutumes, et de se rattacher et s'intéresser à ce qui ne leur était pas propre.

Ensuite, nous pouvons tenter de comprendre le sens que Malraux a tenté de vouloir donner à sa phrase. C'est une formule choc qu'il a utilisé lors d'un discours fait alors qu'il était ministre de la culture du gouvernement français.
Cette phrase dit représenter la civilisation grecque qui est belle de ces arts, de son intelligence, de sa finesse.
Nous percevons qu'il y a un combat permanent à mener pour qu'un maximum de citoyens aient accès à la culture. Une culture qui désignerait l'ensemble des créations de l'art et de l'esprit. Une culture qu'il faudrait faire initier par la littérature, le