-La culture peut être définie, par opposition à la nature, comme tout ce qui constitue un monde proprement humain (le langage, l'art, la technique, la religion, etc.). Cependant, cette culture n'existe que dans sa diversité (la culture occidentale nest pas la culture orientale, la culture de la Renaissance nest pas la culture moderne, etc.), aussi il est plus correct de parler des cultures plutôt que de la culture. -Le progrès est le fait, pour un objet, de s'améliorer dans le temps. Un être progresse si son évolution est linéaire et si tout état antérieur est jugé moins bon qu'un état plus récent. Le progrès s'oppose donc à la décadence. -Se demander si le progrès s'inscrit dans la culture implique donc de répondre à deux interrogations différentes: 1) L'ouverture de l'homme à la culture constitue-t-il un progrès par rapport à son état premier d'être naturel? 2)La culture est-elle sujette au progrès? C'est-à-dire à la fois, une culture se développe-t-elle de manière linéaire, en passant du pire au meilleur? Et aussi, l'humanité, qui passe de cultures en cultures, en abandonne-t-elle nécessaire une moins bonne au profit d'une meilleure? On voit tout de suite les problèmes que pose de tels jugement: au nom de quelle valeur peut-on juger qu'un moment culturel vaut plus qu'un autre ou qu'une culture est meilleure qu'une autre?
Tout au long de l’histoire le progrès technique a permis une amélioration des conditions de vie de la population. Avec par exemple l'augmentation de l'espérance de vie. Les innovations peuvent parfois avoir des conséquences néfastes sur notre vie. Par exemple dans les années 60, année de pleine croissances les pays aujourd'hui développé ont produit et produit encore sans se soucier des conséquences sur notre environnement. Aujourd'hui, presque 50 ans après, on essaye de résorber ses effets sur notre environnement. L'exemple le plus parlant est la voiture, si lorsqu'elle a été fabriqué on avait tenu compte du CO2 qu'elle expédiait on ne