La croissance verte
Nous vivons une double crise, économique qui à débuté aux Etats-Unis, sur le marché immobilier dû en partie aux Subprimes. Des plans de relance à cours et long terme sont lancés pour contrer la faillite de certaines entreprises. Cette crise est également écologique, les températures vont augmenter de deux à trois degrés d’ici cinquante ans. Il faut renforcer la croissance verte car elle est inéluctable, mais de multiples interrogations se posent.
Tout d’abord la croissance verte va permettre de régler en partie cette double crise. En effet, grâce à elle, les entreprises vont plus s’intéresser au développement durable (69%), elles vont devoir diminuer leurs dépenses en énergies en accord avec le Grenelle de l’environnement. Les entreprises devront transformer les contraintes en opportunités, et trouver des produits de substitutions qui consommeront moins d’énergie. Pour les ménages, elle va leur permettre de contrer la crise, avec des actes de solidarité, ils comptent renouveler leurs modes de consommation. Le rôle de l’Etat sera plus important afin de réguler le marché, il met en place une fiscalité verte, la tonne de CO2 sera à 17€, les ménages verront leurs impôts sur le revenu diminuer, quand aux autres ils obtiendront des « chèques verts ». Le bonus malus tendra à diminuer tous les 2 ans de 5kg, de plus, le crédit d’impôts va diminuer pour les logements neufs à basse consommation.
Les pays du nord comme la Finlande ou encore le Danemark ont une fiscalité verte élevé et font partie des pays les plus heureux au monde. Cependant, cette croissance verte laisse place à de multiples questions.
Premièrement, la création de la GREEN NEW DEAL va permettre à l’UE de s’attaquer au défi climatique et de créer de nouveaux emplois, de stimulé les entreprises rejetant peu de CO2. Cela entraîne des changements radicaux dans certaines politiques comme le transport, la construction ou l’agriculture. Néanmoins, les pays s’inquiètent pour les