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la crise économique au Maroc

1057 mots 5 pages
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Quel impact de la crise économique mondiale sur le Maroc?

Mars 2009

Préambule
•

Ce document analyse les opportunités et menaces de la crise économique mondiale pour le
Maroc

•

Version : 0 Mars 2009

•

Contact auteur

Mohamed Wail Aaminou
Phone : +1 919 451 17131
E-mail : mohamed.wail@gmail.com
Skype Id : mohamedwail

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Points clés
•

La récession mondiale est un fait, le degré d’impact pour le Maroc sur le court et moyen terme est important a quantifier mais reste un exercice challengeant

•

L’impact pour le Maroc concernera principalement les activités exportatrices, les transferts de MRE ainsi que les investissements directs

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La crise présente également des opportunités a saisir : La délocalisation, la baisse du cout de l’énergie et des matières premières et le focus sur la réactivité notamment pour le textile

•

Bien que les menaces semblent dépasser les opportunités, l’impact de la crise internationale dépendra de la manière les menaces seront minimises et les opportunités exploitées.

•

Tourner le dos a la crise en attendant que le tempête passe et ne pas engager des réflexions sérieuses dessus est très risque. Les enjeux sont de tailles :
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Une balance courante très fragile
Taux du chômage en tendance haussière
Un taux de croissance volatile

Le caractère spécial de cette crise et les challenges qu’elle génère requièrent une forte réponse et une grande dose d’anticipations par les décideurs du pays et la société civile

Structure
• Généralités sur la crise économique
• Menaces pour le Maroc
• Opportunités pour le Maroc

Crise économique : Origines
• La crise économique internationale trouve son origine aux états unis avec la crise des créances hypothécaires « subprimes » qui a généré en crise financière qui s’est transformée en crise économique mondiale.
• Au départ, les spécialistes ont nie la possibilité de récession mondiale et on décrit de passager les

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    Cette évolution s’explique par une baisse de l’activité de l’agriculture de 1,6% au lieu d’une hausse de 18,7% une année auparavant et par une augmentation de celle de la pêche de 3,5% au lieu de 14,5%. La valeur ajoutée du secteur secondaire, en revanche, a réalisé une augmentation de 4,7% au lieu de 0,1% durant le troisième trimestre de l’année précédente. Cette amélioration est le résultat de l’accroissement des valeurs ajoutées des activités : de l’industrie d’extraction de 20,6% au lieu d’une baisse 2,9% ; des industries de transformation de 3% au lieu d’une baisse 0,7%; de l’électricité et eau de 2,1% au lieu 1,7%; du bâtiment et travaux publics de 0,5% au lieu de 3,8%.….

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    5. La première trajectoire (1960-1981) se divise en deux périodes : entre 1961 et 1972, les politiques budgétaires et monétaires ont été relativement contenues. Au cours de la période 1973-1981, on assiste à un retournement de la conjoncture nationale et internationale. Les prévisions économiques de cette période ont été au-delà des capacités de production du pays. Le secteur privé a pu renforcer les positions qu’il occupait au sein de l’économie grâce surtout à l’appui de l’Etat durant les années 1960 et 1970.….

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    L’économie nationale aurait affiché, au quatrième trimestre 2014, une croissance estimée à 2.7%, en glissement annuel. Cette évolution serait attribuable à une amélioration de 3.5% des activités non-agricoles, tirée particulièrement par le bon comportement des secteurs tertiaires. Les activités agricoles seraient, par contre, restées peu dynamiques par rapport à l’année précédente, marquant une baisse de 1.5%. Avec une hausse de 3.8% des activités hors agriculture et compte tenu d’une amélioration de 5.1% de la valeur ajoutée agricole, la croissance économique nationale serait, au premier trimestre 2015, de 4.1%. Le déficit de la balance commerciale se serait, ainsi, allégé de 6.6%, en glissement annuel, en raison de la hausse des exportations et du reflux des importations.….

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