Dans le texte la Chartreuse de Parme écrit en 1839, Stendhal l'auteur de ce roman cherche à nous donner une image négative de la guerre. Tout d'abord il nous fait apparaître une idée de désordre que se soit sur le plan visuel mais aussi sonore avec un champ lexical pour venir l'illustrer ( « remuée » , « volait » , « fragments » , « fumée » , « cri » , « ronflement » ). Le champ lexical des armes ( « boulets », « boulets », « canon » ), nous montre toute la violence des scènes de guerre. D'autre part le passage : « Il entendit un cri sec auprès de lui : c'étaient deux hussards qui tombaient atteints par des boulets ; […] . Ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant qui se débattait sur la terre labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles ; […] : le sang coulait dans la boue. » nous amplifie l'image de la violence et du barbarisme de la guerre.
De plus, la guerre peut amener de faux espoirs et donc de grandes désillusions. Fabrice « notre héros » se considère tout à coup comme un « vrai militaire » après avoir passé l'obstacle du « grand galop » et en étant arrivé au « feu ». Or quand il découvrit le maréchal qu'il trouva « très blond, avec une grosse tête rouge », la désillusions arriva ; le maréchal était une personne avec un physique peut ordinaire pour un italien ( « Nous n'avons point de figures comme celle-là en Italie » ) alors qu'au contraire, lui, était tout a fait ordinaire avec son teint « si pâle » et ses « cheveux châtains ». « Pour lui ces paroles voulaient dire : Jamais je ne serais un héros