La beauté de c beaudelaire
Et appartient plus particulièrement à la partie appelé « idéal » et est mit en opposition à la partie nommée « spleen ».Ces 2 parties sont cependant le constat du monde réel.
Ce poème est rédigé en 1857, à l’époque du romantisme et de la révolution poétique ou de grands auteurs comme Baudelaire vont apportés un changement aux contenus de leurs œuvres afin d’y accorder une plus vaste liberté et ouverture d’esprit.
Ici la beauté est considéré par Baudelaire comme artificielle.
Dans ce poème la beauté est décrite comme vivante et s’exprime librement de manière allégorique.
Elle apparaît comme fascinante et parfaite aux yeux des hommes présentés comme « mortels ».
Elle est froide, mystique et à la fois inaccessible.
Nous essaierons de démontrer pourquoi la beauté est subjective et tend vers 2 principes antithétiques étant: monstrueux et représenté de manière idéal.
Pour cela nous étudierons premièrement; les raisons d’une mise en place allégorique, deuxièmement; une représentation fascinante de la beauté et troisièmement; une représentation cruelle de la beauté.
L’allégorie représentant la beauté sous les traits telle une déesse apparaît implicitement tout d’abord par l’emploi du pronom personnel « je » tel une personnification: « je suis belle » V1 ; « et mon sein » V2 ; « je trône dans l’azur » V5 ; « je hais le mouvement qui déplacent les lignes » V7, dans ce vers la beauté exprime ses émotions, « fiers monuments » V10.
Elle apparaît sous une forme fière et méprisante, on peut le constater grâce au champ lexical du mépris: « ô mortels » V1, ici le ô vocatif insiste sur ce mépris porté aux mortels; « meurtri » V2 ; « je hais les mouvements qui déplacent les lignes » V7 ; « Consumeront leurs jours en d’austères études » V11.
Elle apparaît fière et nous le montre par ses