Kiabi
Comment Kiabi orchestre commandes, approvisionnement et encaissement
Le distributeur d'articles de mode utilise l'EAI de Seebeyond pour connecter briques logicielles du marché et briques spécifiques. Récit. (Lundi 3 novembre 2003) En savoir plus
Seebeyond 5
Dossier EAI: des flux aux processus
Célèbre distributeur d'articles de mode, Kiabi a fait le choix d'une approche technologique dite best-of-breed. Une politique qui consiste à retenir une application particulière pour chaque grande fonction de l'entreprise. A la différence d'un système d'information articulé autour d'un progiciel de gestion intégrée unique, ce type d'architecture permet d'assurer finement l'adéquation entre outils et enjeux métier, sans dépendre d'un éditeur particulier. En revanche, il engendre des problématiques d'intégration souvent plus complexes.
Oracle Financial (comptabilité), IBM HR Access (ressources humaines), Symag (encaissement), etc. Le distributeur combine ainsi plusieurs produits du marché. Des solutions qu'il associe à des développements spécifiques, couvrant notamment le traitement des commandes et des réapprovisionnements. "Pour connecter toutes ces briques, nous avions mis en oeuvre à l'origine une série d'interfaces point à point (Cobol), explique Christophe Alié, responsable des systèmes d'information chez Kiabi. Qualifié de "plat de spaghettis", ce dispositif se révèle difficile à maintenir et limité en termes de traitement d'informations. Face à ces questions, Kiabi décide de se doter d'un EAI. Il retient Atos pour l'assister dans ce projet.
La plate-forme SeeBeyond comme socle
Dans son appel d'offres, Kiabi passe aux cribles plusieurs systèmes d'intégration du marché, les environnements de Tibco, de webMethods et de Seebeyond notamment. Deux maquettes sont élaborées dans la foulée. Au final, c'est la plate-forme Seebeyond qui est sélectionnée. Le distributeur est notamment séduit par la grande facilité de déploiement de