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‐ montrer la monumentalité des ouvrages
‐ faire allusion aux sources de connaissance de la Terre que représentent les images satellitales que l’on va utiliser à plusieurs reprises : distinction des espaces naturels et des espaces aménagés, des espaces fortement drainés et des espaces secs…), et insister sur les précautions d’utilisation : date, précision, saison de prise de vue
Ici, un point de cours magistral peut être nécessaire pour décrire et surtout interpréter les images :
L’ancienneté de la Grande Muraille, le rôle qu’elle joue comme lieu de mémoire de l’identité chinoise (terme introduit à l’oral), et l’empreinte paysagère de la Grande Muraille qui, selon les Chinois, serait visible de puis la Lune.
On peut emprunter un passage de Th. Sanjuan et R. Bereau : « Le barrage des Trois Gorges entre pouvoir d’État, gigantisme technique et incidences régionales » dans Y. Lacoste dir° : « Géopolitique de l’eau », Hérodote, n° 102, 2001: C’est un projet
« autoritaire dans sa décision et pharaonique dans sa réalisation » ; il est « un soutien symbolique » pour un régime autoritaire dont l’image est brouillée par les réformes de libéralisation depuis 1978 et leur radicalisation après 1992. Les dirigeants chinois renouent avec la vocation première d’un pouvoir impérial vieux de plus de deux millénaires : susciter et encadrer un aménagement de la nature, assurer le lien entre les différents éléments naturels et les hommes pour leur bien et leur prospérité. Le gouvernement chinois joue la carte du nationalisme chinois afin de mobiliser les esprits en faveur d’une oeuvre équivalente à la Grande Muraille.
‐ Les acteurs du projet : doc 2
passage à l’échelle mondiale, après une réflexion à l’échelle locale. Tout