Justice et bonheur
Tout d’abord, parlons de Sartre et de son raisonnement face à cette question. Il développa une importante théorie qui s’appelle la conception existentialisme des choix humains. Cette conception disait que l’homme était un être libre. Il possédait ses propres valeurs et avait sa propre vision de l’être humain et de son existence. Il n’avait pas besoin de sa fier aux morales universelles, mais bien à ses morales personnelles. Bref, en d’autres mots il était définit comme quelqu’un d’unique. Étant donné que selon Sartre, l’homme à sa propre vision de l’être humain, il a donc évidemment sa propre perception du bonheur et en quelque sorte sa propre perception de la justice et aussi des lois et de tout ce qui entoure ceci. C’est ainsi que l’on comprend que la justice ne serait donc pas objectif, mais bien subjectif puisqu’elle est différente d’hommes à hommes. Nous en venant donc à la conclusion que pour Sartre, grâce à sa conception de l’être humain, que la justice serait autant subjective que le bonheur.
Il est difficile à croire que la justice est subjective selon Sartre, car si chacun obéit à ses propres règles et lois, la société ne tiendrait plus debout. C’est-à-dire