Julien
Amin Maalouf explique dans cet ouvrage que chacun de nous possède une identité, chacune totalement et catégoriquement différentes les unes des autres d’un individu à l’autre. Il explique que nos identités ne sont pas fixées et statiques dés la naissance, elles se développent à chaque instant, chacun des événements journalier travail cette identité qui nous rend unique, au final c’est seulement nous qui forgions cette identité. Seulement il raconte que ces notions d’identités sont parfois soumises à certains conflits éventuels. D’où le titre d’identité « meurtrières »…
Il y a en effet le fait de ne pas assumer son appartenance à plusieurs pays. Comme un belge de mère française et de père libanais, la question qui se pose alors est « pourquoi » ? Pourquoi n’assumons nous pas ces divergences ? Maalouf répondra que c’est à cause de ces habitudes de pensée et d’expression si ancrées en nous tous, à cause de cette conception étroite, exclusive, bigote, simpliste qui réduit l’identité entière à une seule appartenance.
Un autre exemple de conflit, ce fanatisme religieux lié à l’identité. Maalouf exclut catégoriquement le fanatisme religieux et explique son raisonnement, il aborde ainsi l’appartenance religieuse : à ses yeux, elle devrait être remplacée par une autre forme d’appartenance, celle à « l’humain ». Il affirme et soutiens donc que la meilleur forme de « religion » possible serait l’humanisme, selon lui, l’appartenance la plus importante, mise à part la langue identitaire( Par opposition à langue globale, qui, à ce jour, est incontestablement l’anglais), est sans doute l’appartenance à l’humanité.
Enfin, en terme de conflit lié à l’identité dite « meurtrières » il nous parle de ségrégation. Il nous explique que si nous voulions vraiment montrer nos appartenance a des cause anti-racisme nous devrions déjà commencer à changer nos méthode de votes, en effet nous nous crions civilisation démocratique mais