Le roman La lenteur de Milan Kundera, critique la privation de la liberté de la postmodernité. Tout d’abord, l’auteur dit que la société, du courant postmoderne, veut toujours aller de plus en plus vite. Dans ce roman l’auteur dit <<Il y a un lien secret entre la lenteur et la mémoire, entre la vitesse et l’oubli […], un homme marche dans la rue. Soudain, il veut se rappeler quelque chose, mais le souvenir lui échappe. À ce moment, machinalement, il ralentit son pas. >> p.51-52. Selon lui, le monde va tellement vite qu’il y a oubli. Pour lui, l’Homme n’a même pas la liberté à sa propre mémoire, car ils vont tellement vite que la vitesse a pris contrôle de la mémoire. Par la suite, selon Milan Kundera, il y a une perte complète de privation (la vie privé). Il dit que les médias et les caméras ont enlevé la vie privé et tout le monde a accès à tout. Il écrit << Le roi tchèque Vaclav, au XIVe siècle, prenait plaisir à fréquenter les auberges de Prague et à bavarder incognito avec des gens du peuple […] ni dans sa baignoire cachée dans un bunker au dix-septième sous-sol il ne peut échapper aux yeux>> p.53-54. Dans cette comparaison entre ces deux rois, ceux-ci avaient toute la puissance au monde mais seul le roi tchèque avait la liberté. Le roi du XIVe siècle a aussi bien vécu, car il avait la liberté de faire ce qu’il voulait sans que personne ne le reconnaisse, tandis que le prince Charles qui, lui-même caché, ne peut pas échapper les caméras. Les médias ont volé toute forme de liberté qu’il avait. Ainsi, il y a privation complète de liberté que ce soit par soi-même ou par quelqu’un d’autre. En somme, le roman de Milan Kundera La lenteur est une critique de la postmodernité. De plus, il critique beaucoup le manque de liberté de la population. Dans L’Héritage décrié de cervantes, Milan Kundera écrit << Qu’est-ce que l’aventure si la liberté d’Action d’un K, est tout à fait illusoire? >> p.23. Cet extrait explique encore une fois