Différenciation sociale
Jeunes amérindiens en milieu urbains

La population autochtone est reconnue pour être une des communautés les plus jeunes du Québec. En effet, avec un âge moyen de 27 ans, on peut s’attendre à trouvé une majorité de jeunes sur les réserves amérindiennes. Une bonne partie de ceux-ci décident d’y demeurer alors que l’autre moitié fait le choix de quitter vers les différents milieux urbains s’attendant à améliorer leur niveau de vie. Cependant, ils se heurtent souvent à de nombreux problèmes qui rendent leur intégration aux québécois particulièrement difficile. Afin d’étudier la situation de minorité dans laquelle évoluent ces jeunes amérindiens lorsqu’ils arrivent en milieu urbain, une étude de l’historique de ce groupe sera d’abord faites. Il sera ensuite intéressant de se pencher sur les raisons qui poussent ses jeunes à quitter leurs réserve pour ensuite étudier les nombreux problèmes qu’ils doivent gérer une fois installer dans les villes. Le tout sera basé sur quelques études réalisées en majeur partie au Québec dans la dernière décennie. Le but sera de s’intéresser à la question suivante ; quel sont les conséquences d’une migration vers les milieux urbains pour les jeunes autochtones qui quittent leur réserves?

1. Portrait des jeunes autochtones en milieu urbain
1.1 Historique
Au milieu du XIXe, l’industrie forestière du Québec est en plein essor. La demande pour nos richesses naturelles ne fait qu’augmentée amenant ainsi la forêt à devenir un des piliers les plus important de l’économie québécoise. Un seul problème s’oppose à cette expansion rapide; les amérindiens. Leur assimilation à la culture occidentale devient de plus en plus prioritaire aux yeux des dirigeants, ils doivent se sédentarisés. La construction de chemins de fer, d’industrie de pâtes et papier et d’alumineries vient complètement perturber le milieu naturel dans lequel évoluaient les premières nations. Vivant autrefois de chasse et de pêches, ils