Par ailleur je me décidais enfin à franchir le sueil de la porte vitrée du célébre restaurant « Les alloes ».Par mon habitude,je fus frappé par une forte odeur,une intense empreinte qui stimulait mes sens ,celle d’un arôme exaltant de café qui émanait de part et d’autre de la salle.A cela s’ajoutait une clarté mystérieuse,presque intrigante.En effet une multitudes de lampe étaient suspendues au plafond,abimé par les fumées provenant des cuisines.Cette légére fibre lumineuse entreposait les silouhettes difformes des personnes présentent au comptoir.Notament celle d’un homme barbue, ivre, qui frappait sur la table tel un animal,ne cessant de demander qu’on lui remplisse de nouveau son verre.Il était assis sur un tabouret légérement bancal, on décelait encore des morceaux d’aliments qui étaient accrochés à sa barbe et laissait deviné son repas.Non loin,de hauts meubles de rangements accueillaient une quantité affolante de pilles d’assiettes,de couverts,de torchons à carreaux,un vrai arsenal destiné à établir en toute circonstance le service pour une foule de clients.Sur le coin droit de la piéce quelques tables étaient entreposées derriére un paravent en bambou jauni,ou des habitués jouaient au billard.La plupart portaient encore la trace circulaire de verres à pieds.Des couverts dépareillés étaient disposés autour d’assiettes et de verres ternis.Un groupe d’amis,vifs et souriants étaient situés devant l’une des rares fenêtres du restaurant,qui exposait une nuit mélancolique éclairée par une fine lueur provenant d’un réverbére