It's a wonderful life analyse
1926 mots
8 pages
Frank Capra a réalisé en 1946 un film qui critique les faux dirigeants de son époque, soit ceux qui préfèrent les profits à la dignité. It’s a Wonderful Life raconte l’histoire de George Bailey, qui en la veille de Noël, songe au suicide. Tout au long du film, on nous raconte des moments marquants de la vie de George, par l’intermédiaire de Clarence, un ange de seconde classe qui doit sauver George pour obtenir ses ailes. Lorsqu’il était jeune, George a perdu l’usage de son oreille gauche alors qu’il a sauvé son jeune frère de la noyade. Dès son jeune âge, George rêvait de voyager et de devenir explorateur. Il n’était aucunement intéressé par le travail de bureau. Mais quelques années plus tard, suite au décès de son père, George se voit dans l’obligation de prendre l’entreprise familiale sous sa charge. Il se retrouve alors à passer sa vie dans un bureau à gérer une banque et à se battre contre son principal rival, M. Potter. L’histoire se déroule la veille de Noël en 1945, alors que l’oncle Billy a égaré une somme d’argent importante. Tout le petit village de Bedford Falls, ainsi que sa femme et ses enfants, se rassemble pour aider George, puisque lui aide ces gens depuis des années avec l’entreprise de son père. L’idéologie américaine est fortement présente dans le film. L’American Way of Life, le mythe de Paradis perdu, ainsi que le mythe du Common man sont les concepts qui forment la base de It’s a Wonderful Life.
Il y a plusieurs valeurs véhiculées dans It’s a Wonderful Life. Ces valeurs contribuent grandement au concept de l’American Way of Life, c’est-à-dire à un idéal de vie. La famille et la solidarité sont deux des valeurs qu’on nous inculque tout au long du film, et particulièrement lors de la dernière scène, où tout le monde se rassemble chez George pour lui apporter de l’argent et pour sauver son entreprise et sa famille. À l’âge adulte, George représente l’image typique de l’homme. C’est un homme rangé. Il habite la maison dont il rêvait plus