ioesco, rhinocéros : dans le village
LA NOUVEAUTE DU THEATRE : QUELS PROCEDES ?
I. DIDASCALIE PLUS LONGUE QUE LE DIALOGUE A. LE RYTHME DE LA SCENE ET SON CLIMAT SONT DEFINIS PAR L'AUTEUR didascalie très longue : costumes définis. Ionesco se fait metteur en scène, toutes les gestuelles sont rapportées, peu de choses laissées au hasard, le metteur en scène peut difficilement innover : // entre les deux mises en sc. vue en classe. didascalie plus importantes que le texte en lui-même. B. CLIMAT D'AGITATION ET DE DESORDRE sc. très encombrée. bcp d'acteurs, une dizaine. (+) bougent en permanence (l.14), « une femme court » (l.24) « se précipite, se bouscule. » La poussière apporte le chaos de la scène. les aliments se répandent partout, beaucoup de bruit pour rien : shakespeare. C. UN PERSONNAGE IMMOBILE
Pour Ionesco, le théâtre est fait pour vu. les interrogations signification du désordre. Béranger, ne parle que par des interjections : Oh, Ah. phrase pauvres, non verbales, épileptique, injonctive. il n'arrive pas à réfléchir.
II. DIALOGUES A. UN LANGAGE SPONTANE, PAUVRE interjection, réaction de surprise : réaction spontanée, un langage spontané. variantes des Oh ! l.48, « oh ça alors ». langage sommaire, suggère qu'ils n'arrivent pas à réfléchir : reflet de la médiocrité. communication inexistante, on le l'écoute pas. seule ébauche de dialogue : « vient voir ». parfaitement répétitif : réaction unanime. B. COMMUNICATION REDUITE. relations deviennent agressives, l.40 le vieux M. qui bouscule tout le monde « attention à votre canne » relation développée = agressivité. différentes groupes sociaux : pop° du village, une certaine cohésion attendue # pas d’homogénéité, mais ils réagissent tous pareils : instinct grégaire. agressivité latente des