Intégration des musulmans à la france, synthèse.
Les gens s’arrêtent sur leur apparence et les associent trop vite avec les méfiances voire les craintes plus profondes qu’ils peuvent avoir sur les extrêmes de cette religion. Il est important de nuancer ces idées toutes faites, beaucoup de musulmans tentent au mieux de vivre leur religion en respectant les principes du pays démocratique dans lequel ils vivent. La citoyenneté et l’Islam sont loin d’être incompatibles, malgré ce que les gens on pu dire dans le sondage présenté en page 4, avec un peu d’ouverture d’esprit on comprend qu’avec les différentes communautés qui composent nos nations on est plus riche culturellement parlant. Mais faudrait-il déjà pour ça arrêter de se méfier de son voisin, ce n’est pas parce qu’il a des croyances différentes des notre qu’il doit devenir notre ennemi.
Nous avons hérités ces méfiances du temps des croisades, comme a pu le précisé l’anthropologue, Malek Chebel dans l’interview qu’il a accordé au Nouvel Obs. Il est vrai que les français, les anglais ou les suisses s’arrêtent trop facilement sur des stéréotypes souvent injustes et ne permettent pas aux musulmans de pouvoir bien s’intégrer, mais certains musulmans semblent aussi parfois contre leur propre intégration en refusant d’assouplir leurs pratiques religieuses. Au fond, comme a pu le dire Barica Khiari, première sénatrice musulmane de France : « La laïcité et la matrice qui surplombe nos identités multiples, notre maison commune. » Le gouvernement s’efforce d’appliquer ce principe de laïcité, comme par exemple dans les écoles, mais au fond les mentalités sont trop peu tolérantes.
En fin de compte, dans ces écoles laïques, on apprend aux enfants qui viennent de milieux différents, cette tolérance, très importante pour l’harmonie de notre peuple.
Finalement, aujourd’hui,