Chapitre 1 : la consommation et l’épargne.
Le revenu constitue l’ensemble des sommes perçues par un ménage durant une période donnée. On appel ménage le ou les personnes occupant une même résidence principale.
Le pouvoir d’achat c’est la quantité de biens et services que l’on peut se procurer avec une somme donnée de monnaie. (On raisonne en € constant.) Le revenu se partage entre consommation et épargne qui sont deux variables majeures de l’économie.
L’épargne désigne la fraction du revenu qui n’est pas consommée. Et donc pour les ménages l’épargne est égale au revenu disponible (revenu diminué des impôts et des cotisations sociales et des dépenses de cotisation.) Par ailleurs on parle d’épargne net lorsque la consommation de capitale fixe est déduite et d’épargne brut dans le cas contraire. On appel thésaurisation le montant de monnaie qui est conserver dans sa poche, ou dans son coffre fort.

Section 1) l’arbitrage entre consommation et épargne.
Section 1.1) les déterminants selon l’analyse néoclassique.

Il existe 4 déterminants dans l’analyse néoclassique : * Le taux d’intérêt * La hausse des prix * Le cycle de vie * Le revenu permanant
A) Le taux d’intérêt :

La propension a épargné c'est-à-dire l’augmentation d’épargne induite par la hausse du revenu. Elle est considérée comme une fonction croissante du taux d’intérêt.
Par ailleurs la hausse du taux d’intérêt entraine une augmentation de la rémunération des placements d’où une incitation à épargner. Enfin la hausse du taux d’intérêt, réduit le cours des titres (actions/obligations) de sorte que les agents voyants leurs patrimoine diminuer vont tenter de le reconstituer en épargnant d’avantage et donc en consommant moins.
B) la hausse des prix.

La hausse des prix a deux influences opposées sur l’épargne : * Elle érode la valeur réelle des actifs non indexés sur l’inflation, tel que les comptes sur livret, ou la monnaie thésaurisée : elle pousse les agents à accroitre leur