interview V. Hugo
J: bonjour Monsieur Hugo, merci de nous accorder cette interview.
VH: bonjour, tout le plaisir est pour moi.
J: Alors, dites moi quels ont été les debuts de votre carrière?
VH: j'ai fait mes débuts très jeune sous la restauration. A 17ans, mes frères et moi avons fondé un journal anarchiste, le Conservateur littéraire. En 1822, les Odes furent publiées
J: Que pouvez vous nous dire de Chateaubriand?Vous a-t-il inspiré?
VH: Je l'admirais autant qu'en homme politique qu'en homme intellectuel. J'étais entierrement daccord avec ses idées politiques et c'était le plus opposant le plus tenace de la politique de Bonaparte. Il m'a beaucoup marqué
J: En effet, est-il grâce à lui que vous parlez autant de Dieu dans vos oeuvres?
VH: C'est avec “genie du christianisme” que j'ai découvert en quelques sorte le 'sentiment' religieux. Avant cela, je n'était pas chrétien. C'est aussi grâce à l'abbé Lamennai que mes sentiments religieux se sont renforcés.
J: Considériez vous donc vôtre père comme un modèle?
VH: Malgré les nobreuses années de séparationqu'il y a eu entre nous j'ai toujours été fier d'être son fils mais nous n'exerçons pas la même fonction et donc il m'a été difficile de prendre exemple sur lui.
J: Etant jeune, pensiez vous devenir aussi célèbre qu'aujourd'hui?
VH: Pas vraiment, même si je ne peut pas nier que j'ai souvent éspéré devenir un homme bien et être reconnu, je voyais mon père qui était, comme vous le savez sûrement,un général, du Premier Empire. C'était un homme important, j'erparais le devenir autant que lui.
J: En 7ans, vous avez perdu beaucoup d'êtres chèrs: -1821; décès de vôtre mère, Sophie -1823; décès de vôtre fils, Léopold -1826; décès de vôtre ami Talma -1827; décès de la mère d'Adèle -1828; décès de Biscarrat -l'internement d'Eugène à l'hospiced'aliérés -1828; décès de son père, Léopold.
Vous avez été très touché par la mort de votre mère mais après cet