Initiation à l'histoire de l'art contemporrain
L’art moderne démarre au milieu du XIXeme. Gustave Courbet est contre le monopole de l’academie. Jusqu'à cette période l’artiste ne peut pas exposer, il est relativement contraint, doit présenter ses œuvres à un jury académique qui juge en fontion de règles précises. Cette histoire d’académie démarre avec Louis XIV (genres, formats…). Il y a une sélection pour entrer a l’académie. Ce sont des peintures d’histoire religieuse, mythologiques, historiques ou nationales. Les grands formats etaient les plus valorisés. Le portrait est le 1er des petits genres (l’homme est au centre de tout). Il y a des sous genres, des formats : les grands hommes peuvent etre peints jusqu’ax pieds, les bourgeois une grande partie du corps, les moins grands n’ont qu’a partir du buste. Le paysage est également partie intégrante de ces formats.
La peinture de genre est une peinture qui représente des scènes de la vie, qui a pour but de montrer les actions que l’on ne doit pas faire.
Enfin, la nature morte est au bas de la pyramide des systèmes de genre.
La représentation est plus valorisée que le talent du peintres, seuls certains peintres peuvent peindre des scènes religieuses. Neanmoins, Le Caravage se monte contre ce système, est annonce qu’il s’applique autant pour chaque type de tableau. De meme, Courbet veut peindre sur de grands formats des scènes de la vie, des personnes (il ne parvenait pas a le faire accepter auprès de l’académie). Courbet ouvre un espace d’exposition en marge du salon , « du réalisme », et montre ces toiles de tres grands formats de scènes quotidiennes.
C’est le réalisme qui démarre la modernité. Il s’inspire de la peinture de genre, et qui fait apparaître la matière picturale sur les tableaux (anti-academiques). La peinture n’est plus lisse, on ne veut plus rendre invisible la peinture.
( L’histoire de l’art n’est pas reelement une suite d’écoles et de styles : tous cohabitent mais certains sont plus en voque au fur et