Infanticide
Véronique Courjault âgée alors de 41 ans, a tué 3 de ses bébés nés . Le débat de dénit de grossesses est mis en place. Depuis 1944, la notion d'infanticite n'existe plus. Véronique Courjault est accusé pour «triple assassinats» et va subir la réclusion criminelle à perpétuité.
Son mari Jean-Louis Courjault qui a été mis en examen pour «complicité» a été libéré, en ignorant tout, jusqu'à dire que son épouse ne prenait plus la pilule, ni moyen de contraception. Mr Jean-Louis Courjault, ingénieur expatrié en Corée du Sud, à découvert, à Seoul, le 23 juillet 2006, dans le congélateur de leur maison, deux cadavres de nouveaux-nés. Mme Courjault et leurs deux fils étaient restés en vacances en Touraine, Mr Courjault alerte le commissariat de Bangbae (Corée du Sud), répond aux questions des policiers coréens et se soumet à un prélèvement ADN (Acide DésoxyriboNucléique ). Quand il revient en France comme prévu, le 26 juillet, avec l’accord des policiers de Séoul, mais l’enquête criminelle est lancée sur place et débouche bientôt sur les époux Courjault. Les expertises génétiques se font, qui sont le(s) père(s) et la mère de ces bébés congelés. La police coréenne dénonce que ces « infanticides présumés » au Quai d’Orsay à Paris. Une enquête démarre, à Tours, le 10 août sur ces ressortissants français pour «meurtres aggravés» fait à Séoul. Mr Courjault donne sa bonne foi pendant d’une conférence de presse organisé au cabinet d’un avocat, le 22 août il dit : «Si j’avais eu le moindre soupçon, je les aurais jetés.» Elle reste en retrait. Lui, en chemise blanche, répète une fois de plus : «Ma femme n’a pas accouché de ces enfants.» Elle, petite et ronde, lunettes de soleil remontées sur ses cheveux, l’air abattu et pâle, confie : «C’est un cauchemar, on ne comprend pas ce qui nous arrive.» Et d’un ton plus ferme : «Nous ne sommes pas les parents de ces deux enfants.»
Les enquêteurs français tiennent bientôt la preuve par l’ADN que les