Inegalite scolaire
La forte croissance des dépenses publiques d’éducation a permis une véritable démocratisation
Effort financier qui a permis de scolariser plus de jeunes au niveau du lycée puis de l’enseignement sup, et de diversifier l’offre de formation (surtout ds l’enseignement professionnel)
La part des ménages dans le financement de l’éducation de leurs enfants a diminué de 1975 à 2002 (de 10,7% à 6,4%).
A bénéficié avant tt aux enfants des classes populaires : favorise la redistribution des revenus.
Les inégalités sociales devant l’école ont diminué
Démocratisation également : diminution du lien entre l’origine sociale et les parcours scolaires ou le diplôme.
Carrières au collège bcp + homogènes et réduction des inégalités au niveau des redoublements.
Accès au bac des catégories populaires (ds les années 30, un enfant de cadre avait 35 fois + de chances d’avoir son bac qu’un enfant d’ouvrier. Aujourd’hui 10 fois +).
1/3 des bacheliers enfants d’ouvriers continuent ds l’enseignement sup. (multiplié par 3 entre 1986 et 1996)
La démocratisation est réelle car le niveau des connaissances se maintient et l’avantage que confère la possession d’un diplôme pour l’accès au marché de l’emploi, ne cesse de se renforcer.
Ces réductions d’inégalité se sont faites sans que le niveau des connaissances ne baisse.
Des disparités sociales importantes persistent cependant, en particulier dans les orientations.
Les retards, l’échec scolaire et les orientations restent très nettement hiérarchisées par les caractéristiques socio-économiques et culturelles des familles.
L’impact des disparités sociales se renforce tt au long de la scolarité.
Dès l’entrée de l’école primaire, les écarts se creusent parmi les collégiens entrés en 6ème en 1995, seulement 5% des enfants d’enseignants ou de cadres avaient redoublé une classe à l’école primaire alors que plus de la moitié de ceux d’ouvriers non-qualifiés étaient ds ce cas).
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