Il n'aurait JAMAIS pu imaginer que la petite affaire familiale(familière) de confection qui est montée au coruna à la décennie des 60 se convertirait en l'une des affaires plus admirées dans les cercles patronaux.
Il élèverait comme l'un des hommes plus riches d'Espagne et de la planète. ? celui qui aurait parié par que ce projet qui a commencé par être en 1963 une fabrique de confection de vêtements intérieurs serait positionné entre les leaders mondiaux de la mode ?

un fait à si le même, bien qu'avec une formation peu abondante dans le monde patronal, le Galicien a décidé d'agrandir son affaire en 1975 avec l'ouverture du premier commerce depuis celui qui distribuerait ses propres pièces. Ne ainsi le phénomène Zara. L'expérience ne pouvait pas lui donner de meilleurs résultats. son odorat patronal lui a dit que ce projet avait beaucoup de posibilite. Mais il avait besoin d’un homme de confiance avec expérience dans la gestion patronale. Il faisait courir en 1984 et c’est quand José Marie Catellano invite à aller ensemble dans le projet. L’alliance ne pouvait donner de meilleur resultat. Son partenaire, indispensable dans l'armoire de millions de femmes, croissait comme la mousse jusqu'aux limites insoupçonnées. Et non seulement en Espagne, aussi dans l'extérieur. Déjà en 2000, son chiffre international d'une affaire surpasse le national.

En moins de 10 ans, Zara s’est change en un phenomene social et ses vitrines éclairaient dans les enclaves commerciales plus stratégiques. Et à la chaleur de sa marque emblématique, les Galiciens ont su mettre une affaire émergente à profit comme en créant des nouvelles enseignes, en s'étendant comme un radeau d'huile sur le marché, en s'approchant d'une toute espèce de public et avec les goûts les plus variés.

L’impulsion definitive arrive en 2001, quand Ortega décide d'ouvrir son affaire aux marchés financiers. Et non parce qu'il aura besoin des ressources pour poursuivre son expansion. Ortega, conseillé par