Impartialité
Dans le métier du policier-patrouilleur, plusieurs valeurs doivent être respectées. Entre autres, l'impartialité est l'une d'entre elles. En effet, depuis le début de notre formation en Techniques policières, les enseignants ne cessent de nous dire qu'il ne faut pas prendre de parti pris dans une intervention. Dans le texte qui va suivre, je vais donner des exemples concrets de comportements conforme et non conforme. De plus, je vais établir 2 manifestations culturelles en lien avec 2 éléments culturels reliées avec le travail du policier au Québec.
D'abord, le comportement conforme chez un policier qui représente bien la valeur d'impartialité peut être, par exemple, le fait d'être neutre en arrivant sur une scène de violence conjugale. Si toutes les interventions du policier suivent les normes voulues, l'agent de contrôle social (étant son supérieur immédiat) pourrait lui donner une sanction positive (de source économique) comme, par exemple, une promotion. Dans le cas contraire, la non-conformité d'une norme se sépare en deux catégories: la déviance et la variance. En effet, si le policier utilise certains préjugés personnels pour discriminer un individu pendant une situation quelconque, son supérieur devra lui asséner une sanction négative (de source économique), soit une suspension ou un renvoi. Dans ce cas-ci, on aurait affaire à un comportement déviant. Finalement, le comportement variant s'applique quand c'est une situation qui est acceptée dans la société. Par exemple, pour revenir avec la valeur de l'impartialité, si l'agent de la paix intercepte un individu qu'il connait bien et ne lui donne pas de contravention, mais que l'autre juste après en reçoit une parce qu'il n'est pas une connaissance du policier: on peut parler ici d'un comportement variant. Ici, l'agent de contrôle social utilisera plus des sanctions de type sociales. Par exemple, une perte de confiance s'installe entre le policier et son supérieur.
Ensuite, je vais