Exercices Immunologie : une sécrétion d’anticorps « sous condition »
1)
On utilise des souris immuno déficiente pour quelle soit dépourvu de cellules immunitaire et prouver l’efficacité et le rôle des lymphocytes qui seront injectés aux souris. Ainsi, ce seront les seuls responsables des résultats obtenus.

2) Souris Si1
On injecte chez cette souris immunodécientes des lymphocytes prélevés chez la souris S0 mis en présence de GRM et de GRP. On observe alors la production des anticorps anti-GRP et anti-GRM.
On peut donc en déduite que les lymphocytes injectés ont permis de produire des anticorps dirigés contre GRM et GRP. Il s’agit alors du lot témoin

Souris Si2
On injecte chez cette souris des lymphocytes prélevés chez la souris Sn après les avoir mis en présence de GRM et après leur centrifugation. On injecte ensuite des GRM et GRP. On observe alors une production d’anticorps anti GRM.
En comparant avec les souris Si1 on peut donc en déduire que les anticorps anti- GRm n’ont pas été produit. Or les anticorps anti GRP sont formés, donc on peut en conclure que les anticorps anti-GRP ont été retenu lors de la centrifugation. Les anticorps se dont fixés sur les GRM lors du premier contact avec GRM lors du prélèvement des lymphocytes de la souris Sn

Souris Si3
On injecte chez cette souris des lymphocytes de la souris Sn mise en présence de GRP après centrifugation, puis on l’injecte des GRM et GRP. On observa mors la formation d’anticorps anti-GRM.
En comparante avec la souris Si2, on peut en déduire que ce sont les anticorps anti GRP produite par les lymphocytes qui ont été retenu lors du premier contact avec GRP

Conclusion :
D’après la souris Si1 on sait que les lymphocytes permettent de produire des anticorps. Or d’après la souris Si2 et la souris Si3 les lymphocytes sont spécifique de l’antigène.