Illegal - olivier masset
Lors d’un cours de Français, nous avons pu voir le film d’Olivier Masset : « Illégal », sur la situation des sans-papiers en Belgique. Ce film conçu, non pour choquer, mais pour dénoncer. C’est un pamphlet, non sarcastique, sur « l’extradition » d’une jeune immigrante : Tania. Celle-ci, d’origine russe, est arrêtée par la police des migrations alors qu’elle était avec son fils qui lui réussi à fuir. Nous entrons dans l’univers « sombre » des centres fermés pour émigrées et nous voyons leurs états de détentions. Le réalisateur, Olivier Masset, use de divers effets pour rendre les images de son film encore plus déstabilisante pour le spectateur, mais celui-ci n’est pas objectif : Il défend la cause des étrangers. C’est pourquoi, je vais analyser le film pour savoir ce qui est la réalité et fiction.
D’abord, Ce film constitue une opinion personnelle sur la situation des étrangers. Donc pour faire partager cet avis, le réalisateur utilise des techniques précises. Le film commence par un insert qui est l’interview d’étrangères, sans-papiers, travaillant dans la construction, dont les conditions de vies sont horrifiantes. Dés lors, On voit l’optique du film et cela crée un premier un sentiment de mal aise au près du spectateur. Après, le film se déroule par ellipses temporels, avec un montage sec à effets : ce qui entraine un nouveau choc psychologique pour le public. Ensuite, Olivier Masset utilise les gros plans sur les personnages ou encore filme en camera à l’épaule, il joue, donc, encore une fois, sur les émotions. Pour finir, il met en scène les acteurs dans des décors ternes et tristes avec des couleurs sombres. A chaque fois qu’on voit l’extérieur il y a des barreaux ou des fenêtres pour donner cette sensation d’emprisonnement et à nouveau de mal aise, de plus le ciel est gris pour ajouter de la tristesse.
Au cours de l’histoire, nous en apprenons